La religion naturelle, poeme en quatre parties: Au roi de Prusse, Volume 4Verlag nicht ermittelbar, 1756 - 24 pages |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Ainfi altier auroient Autels befoin Bizance Boileau C'eft c'eſt Calvin Chine Ciel Cieux cœur confcience Confeil conftant défirs difpute divin Dizu doux Ecartons efprit élémens enfans Envain eſt éternel êtes Etre fa fin facrés fage faint falutaire fan foin fang fecours fein femence fens fes loix fes mains fes Sujets feul flambeau Flatta foit fon devoir fon gré fond des Enfers font éteints foumet fous la main fouvent fuis funefte gaire Geneve grace heureuſe inconftant infpire inftruit injufte jufte juftice juſte juſtice l'efprit l'Eglife l'erreur l'Etat l'Etre l'homme l'inſtant l'interêt L'or qui naît l'Univers Laiffe lumiere maître Meurs mœurs mortels Muphti n'eſt Nature néceffaire néceſſaire obfcur paix penfe Penfe-tu peupla les déferts Philofophe Platon POEME préfens préjugés premiere PRUSSE puiſſance Qu'un Dieu raiſon reau refforts refte RELIGION NATURELLE Romains Servet ſes Socrate Sois ſon ſont tendreffe terrein Trajan univerfelle voifins voix
Popular passages
Page 17 - Et ce Locke , en un mot , dont la main courageufe A de l'efprit humain pofé la borne heureufe ; Ces efprits qui femblaient de...
Page 24 - Dieu qu'on méconnaît, ô Dieu que tout annonce, Entends les derniers mots que ma bouche prononce ; Si je me suis trompé, c'est en cherchant ta loi. Mon cœur peut s'égarer, mais il est plein de toi.
Page 16 - Renonce au vin , barbare , et crois à Mahomet. » Mais du beau nom de chien ce muphti nous honore , Dans le fond des enfers il nous envoie encore. Nous le lui rendons bien ; nous damnons à la fois Ce peuple circoncis, etc. Ces vers , platement burlesques , indignes également d'un chrétien et d'un poète, réunissent la familiarité la plus rampante dans les expressions, avec les idées les plus indécentes.
Page 7 - Eft le feul qu'en effet je ne puis fatisfaire ! Non : le Dieu qui m'a fait , ne m'a point fait en vain ; Sur le front des mortels il mit fon fceau divin. Je ne puis ignorer ce qu'ordonna mon maître , II m'a donné fa loi , puifqu'il m'a donné l'être.
Page 20 - Qitefiiel important ,• Du fceau de fa grandeur il chargea leurs fottifes. De la difpute alors cent cabales éprifes , Cent bavards en fourure, Avocats, Bacheliers, Colporteurs...
Page 9 - Le Ciel fit la vertu , l'homme en fit l'apparence. Il peut la revêtir d'impofture & d'erreur, Il ne peut la changer ; fon Juge eft dans fon cœur. SECONDE PARTIE. Réponfes aux objections contre les principes d'une Morale univerfelle. Preuve de cette vérité. J'Entends avec Cardan , Sfinofa qui murmure.
Page 20 - C'eft que vous êtes fage , & que vous êtes Maître. Si le dernier Valois , hélas ! avait...
Page 17 - A'** f'l'''èî»ftrï, £*tà>*.î;,nfa'. 'fM^A.' . fjf (Sont au fond des Enfers, empalés par des diables > Et que tu...
Page 4 - Que Boileau répandant plus de fel que de grace^ .Veuille outrager Quinaut , penfe avilir le...
Page 22 - Le bonnet de Pontife au bandeau des Céfars : . ^ L'Univers repofant fur leur heureux...